La communication… Nous ne comptons plus aujourd’hui le nombre de styles que cet art comporte. Hormis le fait qu’avant même que nous ayons ouvert la bouche nous avons déjà communiqué de bien des façons, j’avais envie de partager autours d’une expérience personnelle récente, sans non plus académiser le sujet.

Dans les rues d’une magnifique ville fortifiée, le mois de juillet voit s’animer chaque année nombre de ses bâtisses pour accueillir théâtres, magie, danse, clown, chanson et bien d’autres arts encore… Pas moins de 1500 spectacles sont joués quotidiennement par les différentes troupes présentes. Mais voilà… Lorsqu’il y a autant de choix, comment faire pour se démarquer des autres compagnies !? Comment amener le spectateur à venir découvrir sa pièce plutôt que celle du théâtre d’en face !? Comment créer l’envie ?

Durant la dernière décennie, j’ai acquis au fil des années un certain nez pour déceler les pièces qui pourraient me ravir. Mais cette fois-ci, j’ai surtout redécouvert une communication souvent maladroite. Accostée par les artistes eux-mêmes ou leurs équipes, on peut rapidement ressentir que le rythme est effréné, fatiguant : tractage le matin (action qui consiste à faire de la publicité), performance, tractage encore, jour après jour.

C’est lors de l’approche qui a pour but de nous charmer que l’envie du lambda se dessine ou s’échappe… Pardonnez-moi de vous partager la subjectivité et la généralité des mots rapportés !

« Les acteurs sont géniaux, la pièce est géniale, c’est drôle, frais, émouvant ! En plus, la salle est climatisée et les sièges sont confortables… »

« Venez, on passe un bon moment, c’est super ! »

ou encore, le plus direct « Tenez ! »

Je vous épargne les onomatopées du style « ça n’est pas pouêt-pouêt » ou encore le gracieux « si vous voulez rire et jouir le même soir, venez me voir ! »

Cet amas d’arguments et d’actions, somme toute parfois agréables, m’interpelle… Et là, je me lance… J’ose un « Ah, merci ! Mais, euh… Et la pièce, quelle en est la thématique ? Non, parce que disons que… ça m’aiderait à faire mon choix !? »

Cette question affole, déstabilise… Certains arrivent à reprendre une conversation débattue, tandis que d’autres profitent d’un dernier argument infaillible « jusqu’à demain, c’est une place achetée, une place offerte ! » pour poursuivre leur course aux spectateurs.

Au milieu de toutes ces danses où l’étranger ne l’est plus tant que ça, il en est pourtant qui se détachent et qui jouent le verbe sur la corde de l’excellence. Même si l’accroche est parfois maladroite, c’est la spontanéité qui fait fureur. Les mots se perdent, se répètent ; le rythme danse et s’accélère pour s’immobiliser immédiatement après. On explique, on partage, on passionne… On se toise… On argumente encore autours de l’auteur, de la mise en scène, de la thématique défendue… Lorsque l’on finit par laisser partir la rencontre, il y a une chose qu’on ne peut pas oublier ; c’est de vite noter le nom de la pièce et son horaire afin de ne surtout pas passer à côté d’un moment d’exception. Et de mon expérience, ces rencontres sont restées gravées…

Merci

C’est un tout petit mot, c’est vrai ! Et pourtant, qu’est-ce qu’il est costaud !

Depuis que j’ai la chance d’exercer mon métier de coach, je suis à chaque fois surprise et ravie à la fois de recevoir des petits mots après les séances. Evidemment, je suis bien consciente que le travail amorcé durant les heures de rencontres ne s’arrête pas immédiatement après, mais la réception de ces retours n’a de cesse de m’émouvoir. Et encore, je ne parle pas du débordement d’énergie qu’ils provoquent en moi !

Cela m’amène à me questionner encore et encore sur le thème de la reconnaissance. On parle souvent de la normalité des choses et des actions. Par exemple, lorsqu’à la maison, on débarrasse la table ou on fait la vaisselle, c’est devenu un standard. On ne pense plus à remercier la personne qui a pris le temps de le faire. Ce n’est pas un comportement volontaire, c’est simplement une habitudequi s’est installée. Si on y regarde de plus près, on sait pertinemment que notre temps est tout aussi précieux que celui de la personne qui a effectué l’action. Et pourtant, par cette habitude justement, on trouve cela normal et on en oublie même de reconnaître le plaisir de ne pas avoir à le faire soi-même. Si je simplifie la phrase précédente, on oublie de dire « merci »

N’avez-vous jamais eu l’occasion de recevoir un remerciement et de vous sentir pousser des ailes ? C’est une pratique qui se développe et se travaille de plus en plus régulièrement dans les environnements professionnels. Quid de l’environnement privé ? Et pourquoi un tel décalage ? Peut-être peut-on trouver un début de réponse dans le fait que les têtes pensantes de certaines sociétés ont pu déterminer la plus-value à reconnaître les collaborateurs dans leur travail. Les bienfaits sont nombreux ; moins d’absentéisme, une meilleure ambiance, un regain d’investissement personnel, etc… Du coup, j’ose me demander pourquoi, dans notre vie privée, ne pourrait-on pas penser plus souvent à dire merci aux gens qui nous entourent. Ne serait-ce pas une possibilité de reconnaître notre ami(e), conjoint(e), famille ? Et par là-même, leur offrir un sourire et diminuer un éventuel facteur de stress négatif ?

Le sujet est vaste ; on pourrait en débattre des heures, mais j’avais envie de partager cette petite réflexion avec vous et simplement vous dire merci, merci à vous qui me suivez, me lisez, me faites confiance et partagez quelques instants de votre temps précieux. Je vous en suis très reconnaissante.

« Si tu n’essaies pas, c’est moi qui vais te tordre le cou ! » Cette phrase raisonne encore dans ma tête presque tous les jours… Si tu n’essaies pas… Pour la personne qui m’a lancé cette phrase, tout coulait de source ! Mais moi, j’étais prise entre l’étrange sensation de l’excitation du voyage et la peur de m’y lancer. Est-ce que j’étais vraiment prête à ça ? Est-ce que mes qualités allaient suffire à convaincre mes pairs ? Est-ce que je pouvais prétendre offrir mes services aux autres ? Est-ce que la qualité ce cette offre serait à la hauteur de mes propres attentes ?

C’est drôle, dès que j’ai commencé à me projeter dans le monde de l’entreprenariat, toutes ces questions (et tant d’autres encore) se sont bousculées dans ma tête. Après l’excitation de sauter le pas, la peur de ne pas réussir s’est glissée dans un petit coin de ma tête et s’est gentiment propagée jusqu’à presque me renvoyer au point de départ…

Et là, je me suis décidée ! Puisque j’ai la chance d’avoir appris et entraîné au quotidien des méthodes de coaching, je vais travailler à comprendre cette angoisse ! Non mais ! Je me suis donc installée tranquillement dans un endroit agréable, une vue à couper le souffle, un environnement vivant de bruits divers, et je me suis plongée dans mes pensées.

Qu’est-ce que ça voulait dire, pour moi, réussir ? Faire plaisir aux autres ? Gagner de l’argent ? Ne pas décevoir mes proches ? Et quel besoin me satisfait dans le fait de réussir ?

Après de longues minutes de réflexion, j’ai mis le doigt dessus… Mais oui, réussir pour moi répondrait à mon fort besoin de reconnaissance ! Dès lors que ce besoin était identifié, je me suis penchée sur les différentes options qui s’offraient à moi. Et si le chemin ne me mène pas à cette réussite ; comment pourrai-je le vivre ? Ne pas réussir serait-il vraiment synonyme de ne pas être reconnue ? A cet instant précis, j’ai repensé à toutes les personnes que j’ai eu déjà le plaisir de suivre et d’accompagner. J’ai souris à la relecture de leurs témoignages. Je me suis nourrie de ces ondes positives, nées d’échanges passionnants, émotifs, sincères et parfois difficiles. Et j’ai réalisé que j’avais déjà réussi…

Et vous, c’est quoi, réussir, pour vous ?

“Si tu n’essaies pas, c’est moi qui vais te tordre le cou !” Cette phrase raisonne encore dans ma tête presque tous les jours… Si tu n’essaies pas… Pour la personne qui m’a lancé cette phrase, tout coulait de source ! Mais moi, j’étais prise entre l’étrange sensation de l’excitation du voyage et la peur de m’y lancer. Est-ce que j’étais vraiment prête à ça ? Est-ce que mes qualités allaient suffire à convaincre mes pairs ? Est-ce que je pouvais prétendre offrir mes services aux autres ? Est-ce que la qualité ce cette offre serait à la hauteur de mes propres attentes ?
C’est drôle, dès que j’ai commencé à me projeter dans le monde de l’entreprenariat, toutes ces questions (et tant d’autres encore) se sont bousculées dans ma tête. Après l’excitation de sauter le pas, la peur de ne pas réussir s’est glissée dans un petit coin de ma tête et s’est gentiment propagée jusqu’à presque me renvoyer au point de départ…

Et là, je me suis décidée ! Puisque j’ai la chance d’avoir appris et entraîné au quotidien des méthodes de coaching, je vais travailler à comprendre cette angoisse ! Non mais ! Je me suis donc installée tranquillement dans un endroit agréable, une vue à couper le souffle, un environnement vivant de bruits divers, et je me suis plongée dans mes pensées.

Qu’est-ce que ça voulait dire, pour moi, réussir? Faire plaisir aux autres? Gagner de l’argent? Ne pas décevoir mes proches? Et quel besoin me satisfait dans le fait de réussir?

Après de longues minutes de réflexion, j’ai mis le doigt dessus… Mais oui, réussir pour moi répondrait à mon fort besoin de reconnaissance ! Dès lors que ce besoin était identifié, je me suis penchée sur les différentes options qui s’offraient à moi. Et si le chemin ne me mène pas à cette réussite ; comment pourrai-je le vivre ? Ne pas réussir serait-il vraiment synonyme de ne pas être reconnue ? A cet instant précis, j’ai repensé à toutes les personnes que j’ai eu déjà le plaisir de suivre et d’accompagner. J’ai souris à la relecture de leurs témoignages. Je me suis nourrie de ces ondes positives, nées d’échanges passionnants, émotifs, sincères et parfois difficiles. Et j’ai réalisé que j’avais déjà réussi…
Et vous, c’est quoi, réussir, pour vous ?

D’après une étude européenne de 2014, la Suisse a été pointée du doigt comme étant l’une des pires élèves en matière de prévention sur la santé au travail. Sur 31 pays sondés durant cette étude, la Suisse pointe dans le dernier ¼ du tableau. Cela se révèle principalement auprès des PME ; plus l’entreprise est petite, moins elle prend en compte les risques psychosociaux. L’éthique et la morale restent principalement axées sur l’économie helvétique. Ce modèle montre sans doute aujourd’hui ses limites !

Les risques de nature contemporaine ou psychosociaux comme le stress, la dépression, les violences, le mal-être, le burn-out ou le harcèlement au bureau sont perçus comme plus difficiles à prendre en charge que les dangers traditionnels (accidents du travail, pollution, bruit, etc…). Elles sont aujourd’hui la 1ère pathologie au travail en Suisse-Romande, devant le mal de dos.

Quelque part, on reste aveugle sur ces questions, pensant que ça va passer. Mais cela est faux; ce problème de santé publique (le surmenage) touche déjà 20 à 30% des salariés en Suisse. L’analyse des risques et les suivis des indicateurs d’absences, d’arrêt au travail nous confirment cette tendance, sans compter que le sentiment d’insécurité au travail pour les collaborateurs reste très fort.

Afin de remettre l’humain au centre de vos préoccupations, TGF coaching vous propose ses services professionnels afin de vous aider à développer tout le potentiel de vos équipes, dans des conditions saines et faire la différence pour vous.

N’hésitez pas à me contacter afin de définir vos éventuels besoins en formation, workshop, Team building, ou coaching. Encore une fois, mettre l’humain au centre de vos préoccupations fortifiera votre société et vous permettra d’augmenter indirectement votre rendement.

Dès le 01 décembre prochain, j’ai le plaisir de vous informer que TGF Coaching sera à votre disposition à 100% !

Hé oui ! Ne dit-on pas qu’il faut savoir prendre le risque ? Aujourd’hui, je suis persuadée que ce chemin me permettra de m’épanouir et d’offrir un service de qualité à mes clients !

N’hésitez donc plus à prendre contact avec moi afin d’échanger sur vos éventuels besoins dans les domaines du coaching individuel ou en entreprise (organisationnel). Quel que soit votre besoin, je suis certaine qu’en travaillant avec l’être humain, tout devient possible !

Vous trouverez bientôt sur cette page, ainsi que sur mon site www.tgfcoaching.ch, plus de détails sur mes prestations. Et si vous désirez me parler directement, vous pouvez me contacter sous info@tgfcoaching.jdemo.ch.

“Jour après jour, la force d’arpenter un chemin, une route, un ailleurs différent”

Le coaching est un accompagnement sur mesure. Il est entre autre orienté résultats et a pour but d’améliorer l’efficacité des individus, des équipes et des organisations.

Pour l’entreprise, il permet notamment :

  • De développer du leadership
  • D’optimiser et de consolider les compétences d’une équipe (cohésion)
  • De stimuler un regain de motivation et d’engagement dans une dynamique constructive et créative (communication)
  • De développer de nouvelles compétences et capacités
  • De conduire le changement
  • D’accroître l’efficacité individuelle et collective
  • D’élargir le cadre du possible
  • Etc…

Pour les collaborateurs, il permet notamment :

  • D’aider à trouver un équilibre entre vie privée et vie professionnelle
  • L’affirmation de soi / la confiance en soi
  • La gestion du stress
  • La clarification des objectifs personnels
  • La clarification de ses motivations, ses valeurs
  • La relation avec les autres
  • L’apprentissage de la remise en question
  • La prise de décision
  • La reconversion professionnelle
  • Etc…

Si vous souhaitez plus de renseignements sur l’un ou l’autre des thèmes mentionnés, n’hésitez pas à me contacter.